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| OZ ∞ take me home country roads | |
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MESSAGES : 76 DATE D'INSCRIPTION : 23/07/2013 EMPLOI : Ancien inspecteur de police de la Garda Síochána. Disquaire hébergeur de fugitifs. CAMP : borderless
| Sujet: OZ ∞ take me home country roads Mar 23 Juil - 13:10 | |
| Ozgur "Oz" Sullivan nom; Ozgur, prénom d'origine turc qu'il tient de sa grand-mère et auquel il doit son surnom - surtout à cause de la difficulté pour un anglophone à le prononcer correctement. Sullivan, patronyme d'origine irlandaise qu'il doit cette fois-ci à son père. surnom; Oz, dans un diminutif logique. âge; Trente-quatre ans, pas marié mais vacciné. date et lieu de naissance; Letterfrack (Irlande), le 12 juillet 1979. race; Humain jusqu'à preuve du contraire. particularité; Sourd d'une oreille. Boite de la jambe gauche depuis son accident. situation; Hétérosexuel, divorcé et célibataire. profession; Ancien inspecteur de police de la Garda Síochána (gardien de la paix d'Irlande) reconverti après une blessure grave à la jambe, à présent disquaire dans le centre de Dublin. Officieusement, le magasin sert de refuge à toutes les âmes égarées humaine ou non à la recherche d'un toit, de bouffe ou simplement d'une tasse de café. croyances; Oz ne croit pas à grand-chose, sinon aux pouvoirs évidents d'une bonne pinte et d'un concert de musique ainsi qu'à quelques légendes locales qui font de bon ton devant les touristes. utopie; La tranquillité et la paix, égoïstement. Du moins c'est ce qu'il affiche. groupe; Officiellement borderless, mais entretient des liens étroits avec l'Institut Newton. no middle ground que pensez-vous du conflit silencieux entre mortels et surnaturels, des mutants revendiquant des droits et des humains enclins à leur refuser ?Trois millénaires d'humanité et rien n'a changé et ne changera jamais. Le fort opprimant contre le faible opprimé, la marge mise à l'index et la différence montrée du doigt, comme source de problèmes et non de progrès. Oz a conscience que le conflit est né de ces trois millénaires d'affrontements, de ce sentiment violent d'incompréhension menant à la haine, lui-même l'ayant connu avant de rencontrer la femme qui allait changer sa vie. Et sa vision des choses. Le combat qu'elle menait a fini, avec le temps, par devenir le sien ; par habitude, par curiosité aussi, par soucis d'agir devant des gamins désemparés, des âmes en peine, perdue, déboussolée par eux-même et par les autres. Ce combat impliquait l'égalité. Au milieu de tout cela, au milieu de ces cris, de ces pleurs, de tout ce sang, jeune, vieux, européen, asiatique, africain, peu importe ; ce sang sale justifié par l'hypocrisie et la cruauté de trois connards en costards. Avec un silence pire que des mots. Un silence qui ne s'assume pas. pour quelle raison avez-vous choisi d'appartenir aux "BORDERLESS" ? si vous êtes neutre, pourquoi ?Par expérience. Par vécu. Dans ce qu'il se permet d'appeler sa jeunesse, Oz a déjà eu l'occasion de s'engager, rejoindre un camp, développer un idéal et se donner les moyens. Tous les moyens. La police était sa famille, l'uniforme sa fierté. Mais que demande t-on à la famille, sinon d'être présente quand tout va mal. Après son accident et la chute, le gouffre, l'addiction à la morphine pour calmer les douleurs, qui l'on rendu agressif, solitaire, peut-être même invivable ; après ça, la famille n'était plus. L'engagement n'était plus. L'idéal n'était plus. Tous les principes bafoués, foutus à la poubelle, écrasés dans la boue. Alors par principe, par vengeance, Oz ne prend plus parti. Il s'exile vers la facilité peut-être, mais se résigne à la position, se résigne aux choix et se désintéresse le plus possible des conflits et des problèmes. Il en déjà bien assez pour lui. Cette façade de pessimiste et de grand cynique ne l'empêche cependant pas d'entretenir - quand ça lui chante - des liens avec l'Institut Newton qui se situe à quelques kilomètres de chez lui. Il lui est même déjà arrivé de recommander à des gamins égarés d'aller y trouver le repos, voir d'en déposer en bagnole devant le grillage de la propriété. Pour se débarrasser des zonards prétend t-il. avez-vous déjà fait preuve de violence envers un surnaturel ou un humain sans pouvoir ? dans quel contexte ?Dans le cadre d'arrestation de police qu'il menait lui-même, il paraît évident qu'une ou deux dents ont du se perdre en chemin, et à peu près de chaque côté des barrières. La race, le genre, ou peu importe le nom qu'on lui donne, surnaturel ou humain, cela lui importait peu. Les méfaits restaient les mêmes. Malgré l'application cruelle et raciste que son directeur de service mettait à accuser le parti surnaturel de tous les actes de malveillances commis dans l'enceinte de Dublin, Oz l'inspecteur ne s'est jamais vraiment prêté au jeu. Par manque d'intérêt principalement. Car pour ce qui est de la vie privé, le disquaire a toujours eu cette tendance à frapper un peu vite, un peu dur, un peu trop rapidement. Et sur à peu près n'importe quoi. que savez-vous sur la boîte de pandore ? la recherchez-vous ? pourquoi ?Ce sont des légendes qui se perdent dans des récits pour enfants, des imitations fébriles à la lueur d'un feu de camp, une invitation au spectacle et surtout pas à la croyance. Pour Oz, la boîte de Pandore n'est qu'un mythe, une invention. Il faut bien que l'homme ait un rêve pour continuer de perdurer. Il perçoit l'intérêt proprement mythique de la chose, la fabulation peut-être excessive de certains marchands consciencieux d'entretenir leur commerce ; mais que la légende soit entretenue par des médias manipulateurs, des journalistes creux en mal de nouvelles : que l'histoire, tout bonnement, devienne affaire d'état, Oz a énormément de mal à le concevoir. Car c'est faire du mal au conte pour enfants, à mille générations de gamins émerveillés, à des millions de soirée camping à la belle étoile, au parfum doux du Connemara. C'est blasphème et dégoût. Les papiers retrouvés sur le corps ont déchainé les amateurs de relique, les touristes imprudents, les sombres crétins à l'imagination lisse. Et pourquoi s'entêter à détruire le mythe en le dévoilant, lorsqu'on peut encore en faire de magnifiques histoires. Be yourself; everyone else is already taken. Elle l'absorbait et le tenait bien fermement, entre deux infimes secondes de repos, faisait de son esprit un désastre et de son corps un chantier. Il ne contrôlait plus rien et laissait parfois aller ses épaules à la frustration du vaincu, serrait les dents en mobilisant ses dernières forces dans la bataille. Alors elle insistait, faisait flancher les défenses et s'effriter le mur, et dans les affres de la colère profonde qui le prenait alors, refermait ses serres sur le corps inerte, le corps immobilisé, le corps qui souffrait. La douleur, il la connaissait, il s'en était fait une voisine coopérative qui voyageait souvent à ses côtés. La douleur l'accompagnait partout, posait ses pas dans les siens, ses bras lourds autour de ses épaules jadis robustes, grignotait dans son cou les dernières forces du guerrier. La douleur comme une difficulté passagère qui finirait bien par s'envoler avec le temps. Mais celle-là était resté. Celle qui emprisonnait sa jambe comme dans un étau et sa tête entre deux briques lourdes, celles qui lui avaient arraché des gémissements de fureur depuis l'égout infâme où, couché sur l'asphalte, il avait mangé ses dernières forces dans un sursaut ridicule et une peur insensée : celle de la mort. Il devait sa survie à peu de choses, et somme toute, à peu de gens. Il revoyait encore les visages gravitant autour de cette pensée simple, cette pensée infime qui l'avait pris et parfois encore, réveillait dans les affres de son demi-sommeil les détails de la réflexion inachevée ; il allait mourir. Seul, étouffé dans ses propres tripes, dans ses regrets, dans ses espoirs ; mort pour la patrie et pour la liberté, pour la connerie et l'illusion d'un extrémisme patriotique ; mort victorieuse et mort inefficace : il ne laisserait sur terre qu'un passage bref et pénible entre deux explosions ravissantes de corps décharnées. Lui, Oz Sullivan, qu'on ne pleurerait sûrement pas, qu'on regretterait encore moins. Lui, il allait mourir. ∞ Tu croyais quoi. Franchement, tu croyais quoi. T'as un cœur comme les autres. T'as deux poumons, une rate, un foie, deux yeux. T'es pas en brique, t'es pas en fer. Pourquoi tu foires. Pourquoi tu tapes dans les murs, Oz, franchement. T'as toujours été comme ça, dis pas le contraire. Tu cognes dans tout, t'as toujours cogné dans tout, même avant d'intégrer la Garda Síochána. Ta première mission, c'était à Dublin. Une école primaire, la prise d'otages. Vingt gosses morts. T'appelais ça ta première guerre. Pourquoi guerre, t'en sais rien. T'as toujours pensé qu'on devait être né pour ça. Quelque part, les hommes doivent tous l'être, mais certains plus que d'autres. Toi, la guerre, la vraie, tu la connais. Tu la vis, tu la sens, tu la respires. Tu la vibres, Tu la supportes, elle t'enrages. T'en rêve la nuit, des rêves secs, sans ardeur, qui font exploser dans le ciel les conflits d'idéaux et les peuples qui souffrent ; parce que c'est ça la guerre, c'est de l'humain bouffé par de la politique, des chiffres, des économies de sang ; ça se compte en pourcentages, en dégâts collatéraux, en marge bénéficiaire. Des équations, des divisions, de la soustraction dans la chair, huileuse, grasse, rougie. Une figure en trois dimensions, sans fond, sans fin. Une fonction bornée à l'infini. La guerre, c'est des maths. Mais t'as jamais été très bon en math. Tu préfères l'immatériel, tu préfères la musique toi. Si t'avais pas écouté ton père, t'aurais même fini musicien. Mais il fallait bien en faire quelque chose, de ce fils d'ouvrier. Autre chose qu'un gamin perdu. Cela dit tu sifflotes, t'aimes ça, tu chantes un peu quand y'a personne pour écouter, tu pianotes les dimanche soirs et t'attends que ça passe. La rage, la haine, contre tout. Contre toi surtout. Quand t'as pas su ce jour-là, entendre le mortier qui descendait depuis le ciel, que t'as senti qu'on te poussait en arrière, pour prendre ta place, sous le feu de la bombe artisanale. Quand t'as vu une jambe, un pied, une tête ; puis ta propre jambe, des lambeaux qu'il restait putain, des lambeaux j'te dis. Que dalle. T'as salement souffert et c'est pas dit que le méritais, peut-être bien ; en attendant, quatre mois plus tard, ta femme s'est tiré. Pourtant tu l'aimais ta femme. Tu l'aimais au matin, au réveil, au coucher ; tu l'avais aimé jeune, enceinte, maman. Mutante. Qu'est ce que ça pouvait foutre franchement, elle était la même qu'auparavant, toujours la même : belle, rayonnante, fidèle, ta femme quoi. T'as merdé, c'est tout. Tu touchais trop à la morphine, trop à la clope, trop à l'héro, toujours shooté pour pas sentir la douleur, il parait que ça t'aidait mon cul, t'étais juste trop lâche pour affronter tout de face. Alors elle s'est tiré, et avec ton gosse en plus, tu le reverras jamais t'as dit le juge, trop violent, trop camé, trop toi. Trop Ozgur. Trop con. Il te restait rien, pourtant t'avais déjà pas grand-chose. On t'a tourné le dos et t'as tourné le dos à tout le monde, parce que t'es comme ça, t'aimes pas qu'on t'aide et c'est bien normal. Dans ta chambre, sous le lit double maintenant vide, y'avait des caisses. Des caisses pleines, tu te souviens, des caisses remplies de vinyle et de CD, dans tous les styles et de tous les âges, milles et une histoires du monde dans trois minutes trente de musique. T'as tout vendu. Tu t'es installé en ville. T'avais pas grand-monde mais au moins tu bouffais à peu près tous les jours. Le premier est arrivé rapidement. Un petit mec, la vingtaine. Triste comme pas possible. Il puait, tu l'as senti de loin et tu le voyais venir, t'en as déjà vu beaucoup des comme ça, après tout c'était ton métier. Et y'avait ta femme. Pour toi ce sont tous les mêmes, ils ont quelque chose dans le regard. Puis tout a commencé avec un café. Tout commence souvent avec un café. Un sourire. Une poignet de main. Il est resté quelques jours, puis il a disparu. Comme ça. Alors t'as compris, t'as compris que tu pouvais être utile, servir à quelque chose. T'as loué une bagnole, une caisse pourrie, tu pouvais pas faire mieux, et tu les emmenais là, près de l'Institut, pas très loin. T'en avais entendu parler à la télé, dans la bouche de ta femme, et puis ce mec, Newton, tu le sentais bien. Tu le disais pas. Tu leur conseillais juste de passer sous la barrière. Comme ça. Pour voir. Ils allaient voir. Ils revenaient pas. T'en a conclu qu'ils étaient heureux. Tant mieux. T'étais heureux toi aussi. behind the screen pseudo; Nemo âge et sexe; 20 piges mais plus pour longtemps. ce que vous pensez du forum; il est magnifique pour commencer ! Le design m'a tout de suite tapé dans l'oeil. Puis je trouve le contexte très intéressant, ce dérivé d'X-Men avec tout un tas d'autres choses à côté... ça stimule l'imagination, c'est super. (et puis ça tombait bien parce que je reviens d'Irlande.) comment l'avez-vous découvert; Par partenariat. code du forum; code validé par ephraïm. célébrité et copyright; James McAvoy ∞ tumblr. un petit mot pour la fin; J'espère que le personnage vous plaira !
Dernière édition par Oz Sullivan le Mar 23 Juil - 20:16, édité 13 fois |
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MESSAGES : 359 DATE D'INSCRIPTION : 27/02/2013 LOCALISATION : Dublin EMPLOI : Escort-girl de luxe CAMP : Neutre
| Sujet: Re: OZ ∞ take me home country roads Mar 23 Juil - 13:17 | |
| Ouh qu'il est mignon OwO Bienvenue chez nous ! |
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MESSAGES : 63 DATE D'INSCRIPTION : 12/07/2013 EMPLOI : call girl. CAMP : indécise.
| Sujet: Re: OZ ∞ take me home country roads Mar 23 Juil - 13:21 | |
| oké, j'adore oz pour l'instant :excited:déjà, macavoy je meurs :dead:son prénom est trop cool (l)bref, si t'as la moindre question, tu peux nous mpotter, ephraïm ou moi, et pense à réserver ton avatar pour dix jours ! et je viendrais te stalker pour des liens |
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MESSAGES : 76 DATE D'INSCRIPTION : 23/07/2013 EMPLOI : Ancien inspecteur de police de la Garda Síochána. Disquaire hébergeur de fugitifs. CAMP : borderless
| Sujet: Re: OZ ∞ take me home country roads Mar 23 Juil - 13:24 | |
| Merci toutes les deux ! j'ai fait un tour des personnages, y'a du lourd hinhin. Alors hâte de voir ce que pourront donner des liens ! et je vais réserver l'avatar de ce pas -> |
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MESSAGES : 6 DATE D'INSCRIPTION : 22/07/2013
| Sujet: Re: OZ ∞ take me home country roads Mar 23 Juil - 13:30 | |
| Bienvenue Je suis moi-même une nouvelle pas encore validée, mais ton perso m'a l'air intéressant Bon courage pour ta fiche ! |
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MESSAGES : 76 DATE D'INSCRIPTION : 23/07/2013 EMPLOI : Ancien inspecteur de police de la Garda Síochána. Disquaire hébergeur de fugitifs. CAMP : borderless
| Sujet: Re: OZ ∞ take me home country roads Mar 23 Juil - 13:50 | |
| Merci ! bon courage pour la tienne également alors |
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MESSAGES : 169 DATE D'INSCRIPTION : 27/02/2013 CAMP : borderless
| Sujet: Re: OZ ∞ take me home country roads Mar 23 Juil - 14:02 | |
| OwO mignon et interessant. Bienvenue |
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MESSAGES : 76 DATE D'INSCRIPTION : 23/07/2013 EMPLOI : Ancien inspecteur de police de la Garda Síochána. Disquaire hébergeur de fugitifs. CAMP : borderless
| Sujet: Re: OZ ∞ take me home country roads Mar 23 Juil - 14:21 | |
| *se fait beau* Merci ! |
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MESSAGES : 66 DATE D'INSCRIPTION : 14/07/2013 LOCALISATION : Dans sa chambre d'hôpital. EMPLOI : Il ne travaille pas, étant assigné à sa chambre d'hôpital depuis quelques années.
| Sujet: Re: OZ ∞ take me home country roads Mar 23 Juil - 15:24 | |
| Bienvenue ! A bientôt sur le forum |
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MESSAGES : 284 DATE D'INSCRIPTION : 15/08/2012 LOCALISATION : institut newton pour mutants et êtres surnaturels. EMPLOI : directeur de l'institut. CAMP : celui de l'harmonie.
| Sujet: Re: OZ ∞ take me home country roads Mar 23 Juil - 15:25 | |
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MESSAGES : 76 DATE D'INSCRIPTION : 23/07/2013 EMPLOI : Ancien inspecteur de police de la Garda Síochána. Disquaire hébergeur de fugitifs. CAMP : borderless
| Sujet: Re: OZ ∞ take me home country roads Mar 23 Juil - 15:36 | |
| Merci Je n'hésiterai pas alors ! |
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MESSAGES : 76 DATE D'INSCRIPTION : 23/07/2013 EMPLOI : Ancien inspecteur de police de la Garda Síochána. Disquaire hébergeur de fugitifs. CAMP : borderless
| Sujet: Re: OZ ∞ take me home country roads Mar 23 Juil - 20:14 | |
| Pardon du DP, mais je pense avoir terminé ma fiche. J'espère que l'histoire ira comme ça, et que le style ne vous dérangera pas trop (c'est un peu différent de ce que j'ai l'habitude d'écrire, mais ça passait bien pour ce cas-là je trouvais). Bonne lecture (j'espère) |
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MESSAGES : 63 DATE D'INSCRIPTION : 12/07/2013 EMPLOI : call girl. CAMP : indécise.
| Sujet: Re: OZ ∞ take me home country roads Mar 23 Juil - 22:40 | |
| je remonte tout ça en zone staff, et on revient vite vers toi |
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MESSAGES : 157 DATE D'INSCRIPTION : 19/06/2013 LOCALISATION : Cherche, petit, cherche. EMPLOI : Chef de Laboratoire CAMP : Drop Out
| Sujet: Re: OZ ∞ take me home country roads Mer 24 Juil - 8:13 | |
| Bienvenue par ici avec ce personnage qui promet. |
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MESSAGES : 76 DATE D'INSCRIPTION : 23/07/2013 EMPLOI : Ancien inspecteur de police de la Garda Síochána. Disquaire hébergeur de fugitifs. CAMP : borderless
| Sujet: Re: OZ ∞ take me home country roads Mer 24 Juil - 9:29 | |
| Super, merci Brianna :) et merci Octavie ! j'ai bien hâte de jouer avec vous tous. |
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MESSAGES : 32 DATE D'INSCRIPTION : 15/07/2013 LOCALISATION : Dubin, bureau d'Infinitas EMPLOI : Sergent Major des Etats-unis d'Amérique, Agent de liaison en mission d'infiltration CAMP : Infinitas
| Sujet: Re: OZ ∞ take me home country roads Mer 24 Juil - 20:54 | |
| McAvooooooooooy ! Hmm Hmm. Bienvenuuuuuuuue ! |
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MESSAGES : 175 DATE D'INSCRIPTION : 01/08/2012
| Sujet: Re: OZ ∞ take me home country roads Ven 26 Juil - 15:57 | |
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BIENVENUE SUR COMETS DRIFT AWAY ! désolée du retard, choubi. tu vois on pouvait te foutre la pression, ta fiche est parfaite. Te voilà validé(e), tu es placé dans le groupe de Borderless. •• je te conseille maintenant d'aller faire un tour dans les annexes du forum, si ce n'est pas déjà fait, pour mieux t'en imprégner et cerner le forum au maximum. •• enfin, il va t'être nécessaire de créer une fiche de liens et une fiche de rps afin de pouvoir étendre ton cercle de relations, et trouver des liens qui tuent à exploiter en rps pour développer ton personnage ! •• tu peux également demander un logement pour ton personnage, lui donner un bureau, une chambre à l'Institut ou un lieu où vivre, qui bien entendu, devra être exploité irp sans quoi, ledit logement ne serait plus vraiment utile. •• également, un endroit où poster ton sujet d'absences puisque personne n'est à l'abri d'un séjour à l'étranger, de problèmes familiaux ou de simples vacances, ainsi qu'un espace spécial pour tes questions, qui peuvent aussi être posées par message privé au staff du forum ! •• enfin, un espace de jeux et de discussions histoire de passer le temps, d'apprendre à se connaître, et de sortir un peu de l'univers rp qui nous entoure ! •• alors un excellent jeu parmi nous, et que du bonheur sur comets drift away |
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| Sujet: Re: OZ ∞ take me home country roads | |
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| | | | OZ ∞ take me home country roads | |
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