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| nemo me impune lacessit △ Avalon Suren Hopkins | |
| Auteur | Message |
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MESSAGES : 6 DATE D'INSCRIPTION : 22/07/2013
| Sujet: nemo me impune lacessit △ Avalon Suren Hopkins Lun 22 Juil - 20:06 | |
| avalon suren hopkins nom; Avalon Suren Hopkins surnom; On l'appelle souvent Ava, ou bien encore Ren, en signe d'affection. En revanche, le surnom Ash, composé par ses initiales, est employé pour lui faire du mal. âge; Avalon a 21 ans. date et lieu de naissance; Avalon est née le 30 Janvier 1990 à Bristol, en Angleterre. race; Avalon est un mutant. particularité; Elle est capable de produire des ondes de choc autour d'elle. Cela se produit plus particulièrement lors d'émotions fortes ou intenses, car elle maîtrise mal sa mutation. situation; Avalon est hétérosexuelle et célibataire.profession; Avalon aurait voulu être 'nez' ; à vrai dire, elle a un réel talent pour distinguer et reconnaître les parfums et saveurs. Mais pour l'instant, elle se contente de son existence à l'Institut Newton. croyances; Pour elle, tout semblant de croyances ou d'espoir s'est effondré avec la découverte de sa mutation. Sa famille est d'origine chrétienne, et si seule sa mère avait une réelle foi, celle d'Avalon a fini de s'effacer totalement lors des mois de sa propre déchéance. Aujourd'hui, bien qu'elle soit une des preuves vivantes que le surnaturel existe, elle se considère comme athée et ne suit aucun culte particulier. utopie; Si Avalon le pouvait, elle aimerait revenir en arrière, à l'époque de son enfance, où tout lui semblait plus simple. Pas de mutation, pas de conflits, et surtout, pas de souffrance, ni de solitude. Elle voudrait revenir avant l'accident, celui qui a fait prendre à sa vie un nouveau tournant. Mais elle sait un retour en arrière impossible. groupe; Newton Institute no middle ground que pensez-vous du conflit silencieux entre mortels et surnaturels, des mutants revendiquant des droits et des humains enclins à leur refuser ?C'est ce qui a tout changé. Il y a comme un malaise entre tout le monde, maintenant. On croise quelqu'un dans la rue, et on se demande 'est-ce qu'il est comme moi ?' 'est-ce qu'il va m'arriver quelque chose ?'... C'est comme si le monde avait perdu l'esprit. Certains font comme si de rien n'était et se terrent dans leur propre peur... D'autres sortent les griffes et vous sautent à la gorge à la moindre occasion. C'est comme s'il n'y avait plus aucune compassion, plus aucun amour dans ce monde. A qui peut-on faire confiance, si nos amis, si notre propre famille commence à se méfier de nous, voire à nous détester ? Ce conflit entre mortels et surnaturels, je le déteste. Il m'a brisée. Avant, je n'étais peut-être pas très sûre d'où j'allais, mais je me répétais que tout allait bien se passer, que c'était normal pour une fille de mon âge. Maintenant, j'ai l'impression d'être une paria. J'en suis une. Je ne sais plus ce que je veux, ce que je dois faire... Est-ce qu'un monstre comme moi a le droit d'avoir une vie 'normale' ? Peut-être que ma mère avait raison d'avoir peur. Peut-être que Zac avait raison de vouloir me soigner... Je ne sais pas qui a tort ou qui a raison. Ce que je sais, c'est qu'à cause de tout ça, la face du monde s'est obscurcie pour toujours. pour quelle raison avez-vous choisi d'appartenir à "NEWTON INSTITUTE" ? si vous êtes neutre, pourquoi ?Je ne sais pas si je l'ai réellement choisi. En fait, je ne sais pas si j'avais un choix tout court. J'aurais peut-être pu continuer à errer sans but, c'est vrai... Mais je n'aurais sans doute pas fait bien long feu comme ça. L'institut me donne une structure. Pas vraiment de but, mais au moins, la vie là-bas remplit mes journées et m'occupe l'esprit. Je m'y sens mieux que dehors. Après avoir vécu dans la rue pendant des semaines, sans savoir vers qui me tourner, avec tous les dangers que cela représentait pour moi et pour les autres... Je crois que l'institut est une bonne chose. Je vais y apprendre à me contrôler. Et comme ça, il ne pourra plus jamais se produire ce qui s'est produit... Lors de l' accident. avez-vous déjà fait preuve de violence envers un surnaturel ou un humain sans pouvoir ? dans quel contexte ?C'était un accident ! Je ne voulais pas... Jamais je n'ai voulu faire de mal à qui que ce soit. Quand j'ai découvert ma mutation, j'étais désemparée. Tout comme ma famille. Peu à peu, j'ai perdu mes amis. Par peur, ils se sont tous éloignés. Il faut dire que je n'ai jamais tissé avec eux de liens réellement forts. Très vite, je suis devenue très seule. Cette mutation, cette particularité... Ma famille me regardait de travers. Ma mère surtout. Elle ne comprenait pas. Elle tentait de me soutenir, d'être douce avec moi. Mais dans ses yeux, je voyais la terreur s'installer. Elle ne reconnaissait plus sa fille. Elle avait peur que je devienne hors de contrôle, à l'instar d'autres mutants sur qui elle entendait de nouvelles rumeurs effroyables chaque jour. Mon grand frère Zac ne le supportait plus. Il me voyait m'isoler de tous. Il voyait sa petite soeur perdre en espoir et en vitalité, et sa mère sombrer dans la peur panique, voire la folie religieuse. Étant l'homme de la maison depuis le décès de notre père, il a cru qu'il était de son devoir d'agir. Alors il m'a présentée Elise, sa fiancée. Elise était membre d'une association, Among us, et disait vouloir m'aider à expier les horreurs que mon corps renfermait. Elle se présentait comme celle qui allait pouvoir me sauver. Celle qui allait à nouveau faire de moi quelqu'un de 'normal'. Car j'étais un monstre, n'est-ce pas ? Un terrible monstre, un danger, une menace, une abomination, quelque chose à éradiquer. Je ne sais plus comment c'est arrivé. Je n'ai jamais voulu ça. Le ton est monté, vite, fort. Trop fort. Elise me répétait depuis des jours et des semaines que j'avais besoin d'aller voir des médecins, de me faire interner, peut-être... 'Pour le bien de tous'. J'ai vu rouge. Et soudain, tout s'est apaisé. Il y a eu comme un silence dans ma tête, comme un calme après la tempête. Mais quand j'ai repris mes esprits, j'ai compris. Depuis le haut des escaliers, j'avais une vue imprenable sur le corps d'Elise, qui gisait en contrebas, le crâne sanguinolent explosé sur les marches. Je ne sais pas quelle couleur m'a choquée le plus. Le carmin du sang de la fille que je venais de tuer, ou le vert des yeux de mon frère, braqués droit sur moi. Peut-être le noir... La pénombre qui n'a cessé de grandir en moi depuis ce jour-là. A force de m'appeler 'monstre', ils avaient fini par en faire un de moi. que savez-vous sur la boîte de pandore ? la recherchez-vous ? pourquoi ?Je ne sais rien de la boîte de pandore, à part le fameux mythe qu'on raconte sur elle. Une boîte à ne jamais ouvrir, car elle pourrait relâcher sur Terre le chaos le plus absolu. Peut-être que c'est cela, en fin de compte. peut-être que quelqu'un a ouvert cette foutue boîte et nous a tous condamnés à des vies misérables, pleines de souffrance et d'incompréhension... Je n'y crois pas vraiment. Je ne me préoccupe pas vraiment de cette boîte, à vrai dire. Cela ne changera rien au fait que ma ligne de vie s'est brisée il y a de ça quelques années, n'est-ce pas ? △ nul ne me blesse impunément ; Tout se passait pourtant très bien. La vie, jusque là, avait été simple et paisible. Avalon avait grandi dans une maison étroite mais confortable de Bristol. Elle connaissait le dédale des rues de la ville par coeur. Elle était ce genre d'adolescente, tranquille et réservée, discrète et subtile, qui aime se promener à l'extérieur pendant des heures. Sans problèmes particuliers, elle avait une mère aimante, bien qu'à l'esprit étroit, un père charmant, bien que souvent absent, et un frère attentionné, bien que plus préoccupé par ses dernières conquêtes que par sa soeur. Bref, Ava, jeune-fille de seize ans alors, avait tout de l'adolescente banale. Quelques amis, sans réelles attaches. Quelques hobbies, sans réelles passions. Quelques coups de coeurs, sans grand amour. Sa vie, en fin de compte, aurait pu puer l'ennui à plein nez, si tout n'avait pas foutu le camp d'une seconde à l'autre. C'est drôle, comme en une fraction de seconde, l'équilibre ainsi installé depuis des années, et qu'on croyait immuable, peut se renverser à jamais. Ça a commencé avec un ballon. Une belle balle en caoutchouc rouge vif. Et deux jeunes garçons jouant avec, dans un petit jardin donnant sur la rue. Une belle scène par un beau début de soirée d'automne. La lumière d'or et d'ocre commençait à baisser dans le ciel, mais les garçonnets, trop heureux de s'échanger des passes dans l'insouciance propre à leur âge, ne voulaient pas encore arrêter pour rentrer dîner. Ils auraient peut-être du. Car, s'ils étaient rentrés, le petit Tommy, huit ans, n'aurait pas raté la passe que lui avait faite son frère. S'ils étaient rentrés, Tommy n'aurait pas couru après le ballon rouge pour le rattraper. S'ils étaient rentrés, Tommy ne se serait pas retrouvé au milieu de la route, le soleil presque couché à l'horizon. S'ils étaient rentrés, la voiture du père d'Avalon aurait pu continuer son chemin sans encombre. Mais ils ne sont pas rentrés. Alors, le père d'Avalon a freiné, mais trop tard. Le garçon a été renversé. Le ballon a explosé. Et la voiture s'est jetée droit dans l'arbre qui bordait la route, de l'autre côté. Et le corps du garçon, comme celui du père d'Avalon, se sont retrouvés baignés d'un rouge plus vif encore que celui du caoutchouc de la balle. ***Après le décès de son père, Ava s'est rapprochée de son frère, Zac, pour se serrer les coudes et se soutenir mutuellement à travers le deuil et la tristesse. Leur mère, elle, s'est surtout tournée vers la religion, ce qu'Avalon n'a jamais réellement apprécié, ou même compris. C'est donc tout naturellement vers Zac qu'Avalon s'est tournée quand cela s'est produit pour la première fois. Elle était à une soirée, chez des amis. Elle n'avait pas réellement envie d'être là, les soirées bondées et bruyantes comme celles-ci n'étant pas vraiment sa tasse de thé, mais elle n'avait pas non plus eu envie de rester seule chez elle, et Zac l'avait poussée à sortir pour lui changer les idées. Aujourd'hui, cela faisait un an depuis l'accident de voiture, et tout le monde dans la famille était donc à fleur de peau. La morosité d'Ava sembla pourtant totalement échapper aux yeux de Dimitri, qui avait jeté son dévolu sur sa camarade de classe depuis des semaines et voulait saisir l'opportunité de cette soirée pour enfin tenter une approche. A vrai dire, l'intérêt de Dimitri pour Ava n'était un secret pour personne, pas même pour elle, car il avait déjà flirté ouvertement avec elle. Aussi, quand il s'approcha pour lui demander si elle voulait danser, Avalon ne fut pas vraiment surprise. Elle refusa d'abord poliment, mais devant l'insistance du jeune-homme, finit par accepter poliment. Elle finit son verre d'une traite, et ils se retrouvèrent bientôt collés serrés sur la piste de danse. Dimitri était séduisant. Peut-être même attirant. Si Avalon n'avait pas été si triste en ce moment, peut-être se serait-elle laissée aller plus facilement. Mais il fallait reconnaître que Dimitri était amusant, et qu'à ses côtés, l'alcool aidant sans doute un peu, elle se sentait déjà plus légère. Ils dansèrent ainsi une vingtaine de minutes, avant que le jeune homme ne l'attire un peu plus loin, dans une pièce où ils se retrouvèrent seuls. C'était une salle de bains. Avalon se plaça face au lavabo, surplombé d'un miroir, et passa ses mains sous l'eau froide pour se mouiller la nuque ensuite. Il faisait une chaleur étouffante malgré l'époque de l'année, et elle avait besoin de se rafraîchir. Dimitri, sans un mot, mais en la fixant dans les yeux grâce au miroir face à elle, se plaça dans son dos, le corps juste contre le sien. En ne décrochant pas ses yeux des siens, il commença à embrasser son cou, puis sa nuque humide. - « Qu'est-ce que tu fais ? » - « Chut. » Il la retourna sans ménagement pour la plaquer contre le lavabo et lui voler ses lèvres. Avalon, surprise, ne le repoussa pas. Elle tentait de rassembler ses esprits pour savoir si cela lui plaisait ou non, si c'était ce qu'elle voulait ou non. Mais Dimitri ne lui laissa pas vraiment le temps de se décider. Ses mains, qu'Avalon sentait sur ses hanches, vinrent s'emparer de sa poitrine, puis descendirent sans attendre pour venir relever sa jupe souple. Le tissu glissa sur ses cuisses pour dévoiler ses sous-vêtements avant même qu'Ava ait eu le temps de réaliser ce qui était en train de se passer. Elle appuya ses mains sur les épaules de Dimitri pour essayer de le faire reculer. Elle parvint à se libérer de sa bouche pressée contre la sienne, mais il enfouit aussitôt sa tête dans son cou pour y passer sa langue. Avalon, de plus en plus mal à l'aise, tentait toujours de freiner ses ardeurs. - « Attends... Arrête. » - « Allez... On est bien là, non ? » - « Non, je... S'il te plaît. Tu me fais... » Mais avant qu'elle ait pu finir sa phrase, et dire à Dimitri qu'elle avait peur, il avait déjà pris la main de la jeune-fille pour la glisser dans son propre pantalon. Avalon eut un mouvement de recul, mais Dimitri la maintenait fermement par ses hanches dénudées, dans lesquelles il plantait ses doigts de façon possessive et désagréable. Sa voix grave se fit d'un coup plus pressante. - « Tu peux pas me chauffer pour me laisser en plan ensuite, merde ! » - « Non ! Arrête putain, t'es chiant ! Laisse-moi part- » Mais il la coupa en l'embrassant à nouveau à pleine bouche. Ses mains sur ses hanches commencèrent à la griffer jusqu'à remonter à sa culotte pour la baisser. En se débattant, Avalon augmentait malgré elle la douleur des ongles de Dimitri plantés dans sa chair. Elle avait de plus en plus peur. Elle ne savait plus quoi faire. Elle avait toujours été frêle, mais là, elle était carrément désemparée. Elle avait beau essayer de réunir toutes ses forces pour s'échapper de son emprise, Dimitri était un garçon très bien bâti, grand et aux muscles puissants. Avalon avait le sentiment qu'il aurait pu la broyer en deux s'il l'avait voulu. Mais ce qu'il voulait, ce n'était pas la broyer. Quand elle réalisa ce qui était sur le point de se produire, quand le mot 'viol' se forma avec une précision détonnante dans son esprit, ses cris de protestation s'évanouirent dans sa gorge nouée. Ses doigts, crispés sur les bras de Dimitri pour essayer en vain de le faire reculer, se mirent à trembler. Elle sentait ses doigts s'insinuer en elle, et elle sentit les larmes de désespoir lui monter aux yeux. De désespoir... Et de rage. La rage de ne pas être écoutée. La rage de ne pas être plus forte. La rage de ne pas pouvoir se débattre. De ne pas pouvoir se défendre. de ne pas pouvoir faire aussi peur à Dimitri qu'il ne la terrorisait en ce moment. La rage, la rage, la rage ! Aussi forte que sa peur, aussi puissante que sa paralysie, aussi dévastatrice que la tempête qui fulminait en elle. Quelque chose bascula en elle. Soudain, sa peur fut balayée entièrement, remplacée par une puissante vague de soulagement, insufflée par la rage elle-même. Avalon savait quoi faire. Il lui suffisait de caler sa respiration sur les coups de tonnerre qui se déchaînaient dans son coeur. Puis de se laisser aller. Dans son dos, le miroir éclata en mille morceaux. Face à elle, Dimitri fut projeté en arrière, dans une onde de choc majestueuse et vengeresse. Le pantalon sur les chevilles, il eut le souffle coupé à cause du mur de la salle de bain qu'il se prit dans le dos avec une violence inouïe. Il regarda Avalon, qui était restée assise contre le rebord du lavabo, entourée d'éclats de miroir, avec des yeux écarquillés par la terreur et l'incompréhension. Avalon, elle, le regardait en retour, ses yeux noisettes et mordorés plantés dans ceux du garçon, savourant sa peur. Cela avait quelque chose de jouissif, de le voir si désemparé, si faible après avoir été si fort. Mais très vite, sa gorge se noua, et elle réalisa ce qui venait de se passer. Elle regarda autour d'elle, perdue. Si perdue qu'elle en oublia de se rhabiller et d'en profiter pour partir. Qu'est-ce que c'était que ça ? Qu'avait-elle fait ? Comment ? Son souffle s'accéléra, et elle eut une sueur froide. Paniquée, son regard se riva à nouveau à celui de Dimitri, dans les yeux duquel la peur se mêlait maintenant au dégoût. - « Tu es... monstrueuse... » L'ironie du sort. Se faire appeler monstre par un type qui était sur le point de la violer. Avalon crut vomir. Au lieu de cela, elle se rhabilla précipitamment et quitta la salle de bain puis la maison en trombe. Sans regarder une seule fois en arrière, elle courut jusque chez elle. Elle était à bout de souffle. Heureusement, elle n'avait pas besoin de réfléchir au chemin, car elle vivait dans le quartier. Qui était-elle ? Qu'avait-elle fait ? Était-elle un monstre ? Un mutant, comme il y en avait de plus en plus d'après les rumeurs qu'on entendait un peu partout depuis que cette personne avait levé un bus dans les airs il y a de ça quelques années ? C'était impossible, impossible, personne dans sa famille n'en était un ! Comment elle, pourrait-elle avoir développé une mutation ? Cette nuit-là, quand elle rentra chez elle, le visage ravagé de larmes, elle alla directement trouver son frère, et pleura dans ses bras pendant des heures. Sans lui expliquer ce qui c'était passé. Elle pleura juste, en silence, toute son angoisse, toute son incompréhension. Ce n'est qu'au premières lueurs de l'aurore, encore sous le choc, qu'elle lui raconta ce qui s'était passé. Ce fut la conversation la plus dure qu'elle eut avec lui. ***Ren se réveille en hurlant, le front trempé de sueur. Encore un cauchemar. Une chance que sa chambre de l'institut ne soit occupée que par elle cette nuit. Elle s'assoit sur le bord de son lit, reprend son calme peu à peu. Elle essaie d'effacer les dernières images de son cauchemar de sa tête. C'était à peu de chose près le même que les autres soirs. Dimitri. "Tu es monstrueuse." Elise. "Tu devrais aller dans un hôpital. Ils savent prendre soin des gens comme toi, là-bas. C'est pour le bien de tous, tu sais." La perte de contrôle. La rage. Son histoire dans la rue. "Ash"... Elle secoue la tête de gauche à droite, et se penche en avant pour faire glisser une boite métallique qu'elle garde rangée sous son lit. A l'intérieur, quelques effets personnels. La montre de son père, un petit carnet de gribouillages et de notes, et une flasque en métal, dont elle s'empare. Elle en ôte le capuchon, hume le parfum de tourbe du whisky irlandais qui se trouve à l'intérieur, et en boit une gorgée. Elle range le tout ensuite, pour se rallonger. Ainsi apaisée, elle laisse son regard se perdre dans la pénombre de la chambre. Déjà plusieurs mois qu'elle est ici, à l'institut. Et, si elle gagne en confiance en elle et en maîtrise de soi, ses cauchemars persistent toujours. Elle joue les fortes, les impénétrables dures à cuire, mais à l'intérieur, elle est brisée. Comme une coquille vide. Si seulement quelqu'un pouvait la tirer de là, de cet enfer, de cette solitude !... Ça a des sentiments... Un monstre ? behind the screen pseudo; Je m'appelle Marjolaine, mais appelez-moi Marjo. Mon pseudo est Midnight.Bliss âge et sexe; J'ai 21 ans et je suis une fi-fille ce que vous pensez du forum; J'aime beaucoup le design, joli contraste entre obscurité et couleurs bien peps ! Le contexte et les annexes sont bien écrits ET ficelés, ce qui est un gros plus ! Je suis contente de voir qu'il y a un système évolutif, j'ai toujours trouvé ce principe plus intéressant en RP qu'un simple contexte figé. Bref, j'aime ! comment l'avez-vous découvert; J'ai fouillé sur PRD. A vrai dire, après 8 huit ans de RP intensifs et une pause de un an sans rien, j'ai eu envie de retomber dans ce joli monde, alors me voilà ! code du forum; code validé par connor. célébrité et copyright; Astrid Bergès-Frisbey, Rose un petit mot pour la fin; Je suis un gentil platypus déglingué (et par chance, je viens de vous apprendre à dire ornithorynque en Anglais, ce qui est particulièrement utile en cas de crise, il faut bien le dire !)
Dernière édition par Avalon S. Hopkins le Mar 23 Juil - 13:32, édité 11 fois |
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MESSAGES : 247 DATE D'INSCRIPTION : 27/03/2013 EMPLOI : secrétaire de harry jefferson. CAMP : instablement bon.
| Sujet: Re: nemo me impune lacessit △ Avalon Suren Hopkins Lun 22 Juil - 21:03 | |
| coucou toi je valide ton code, je fais l'amour à ton avatar, à son prénom, et j'ai hâte d'en savoir plus sur la demoiselle en attendant, n'hésite pas à nous mpotter pour n'importe quelle question, et pense à réserver ton avatar pour dix jours bon courage pour ta fiche, beauté ! |
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MESSAGES : 6 DATE D'INSCRIPTION : 22/07/2013
| Sujet: Re: nemo me impune lacessit △ Avalon Suren Hopkins Lun 22 Juil - 21:30 | |
| Ooooooh, merci Non seulement je m'incris sur un forum trop cool, mais en plus, on me fait l'amour, si c'est pas merveilleux ça ? Je vais réserver mon avatar |
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MESSAGES : 169 DATE D'INSCRIPTION : 27/02/2013 CAMP : borderless
| Sujet: Re: nemo me impune lacessit △ Avalon Suren Hopkins Lun 22 Juil - 22:42 | |
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MESSAGES : 359 DATE D'INSCRIPTION : 27/02/2013 LOCALISATION : Dublin EMPLOI : Escort-girl de luxe CAMP : Neutre
| Sujet: Re: nemo me impune lacessit △ Avalon Suren Hopkins Lun 22 Juil - 22:52 | |
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MESSAGES : 66 DATE D'INSCRIPTION : 14/07/2013 LOCALISATION : Dans sa chambre d'hôpital. EMPLOI : Il ne travaille pas, étant assigné à sa chambre d'hôpital depuis quelques années.
| Sujet: Re: nemo me impune lacessit △ Avalon Suren Hopkins Mar 23 Juil - 4:35 | |
| ASTRIIIID Bienvenue et bon courage pour la suite de ta fiche ! A bientôt sur le forum |
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MESSAGES : 6 DATE D'INSCRIPTION : 22/07/2013
| Sujet: Re: nemo me impune lacessit △ Avalon Suren Hopkins Mar 23 Juil - 9:43 | |
| Merci à tous EDIT : Ma fiche est terminée |
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MESSAGES : 284 DATE D'INSCRIPTION : 15/08/2012 LOCALISATION : institut newton pour mutants et êtres surnaturels. EMPLOI : directeur de l'institut. CAMP : celui de l'harmonie.
| Sujet: Re: nemo me impune lacessit △ Avalon Suren Hopkins Mar 23 Juil - 15:15 | |
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MESSAGES : 6 DATE D'INSCRIPTION : 22/07/2013
| Sujet: Re: nemo me impune lacessit △ Avalon Suren Hopkins Mar 23 Juil - 16:19 | |
| Gnihihii, merci beaucoup J'espère qu'on aura l'occasion de RP ensemble, vu qu'Ava est à l'institut |
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MESSAGES : 175 DATE D'INSCRIPTION : 01/08/2012
| Sujet: Re: nemo me impune lacessit △ Avalon Suren Hopkins Ven 26 Juil - 15:56 | |
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BIENVENUE SUR COMETS DRIFT AWAY ! désolée du retard de validation, beauté ! ta fiche est nickel, j'aime beaucoup avalon. (et puis... newton institute. )Te voilà validé(e), tu es placé dans le groupe de Newton Institute. •• je te conseille maintenant d'aller faire un tour dans les annexes du forum, si ce n'est pas déjà fait, pour mieux t'en imprégner et cerner le forum au maximum. •• enfin, il va t'être nécessaire de créer une fiche de liens et une fiche de rps afin de pouvoir étendre ton cercle de relations, et trouver des liens qui tuent à exploiter en rps pour développer ton personnage ! •• tu peux également demander un logement pour ton personnage, lui donner un bureau, une chambre à l'Institut ou un lieu où vivre, qui bien entendu, devra être exploité irp sans quoi, ledit logement ne serait plus vraiment utile. •• également, un endroit où poster ton sujet d'absences puisque personne n'est à l'abri d'un séjour à l'étranger, de problèmes familiaux ou de simples vacances, ainsi qu'un espace spécial pour tes questions, qui peuvent aussi être posées par message privé au staff du forum ! •• enfin, un espace de jeux et de discussions histoire de passer le temps, d'apprendre à se connaître, et de sortir un peu de l'univers rp qui nous entoure ! •• alors un excellent jeu parmi nous, et que du bonheur sur comets drift away |
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| Sujet: Re: nemo me impune lacessit △ Avalon Suren Hopkins | |
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| | | | nemo me impune lacessit △ Avalon Suren Hopkins | |
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