MESSAGES : 247 DATE D'INSCRIPTION : 27/03/2013 EMPLOI : secrétaire de harry jefferson. CAMP : instablement bon.
| Sujet: absalom ◊ it's where my demons hide Mer 27 Mar - 23:38 | |
| absalom levonski nom; absalom levonski. surnom; abi peut se permettre de l'appeler ab, les autres évitent. âge; vingt ans. date et lieu de naissance; le 8 février 1993 à wellington, nouvelle-zélande. race; magic lightning. particularité; brights - capacité d'intelligence hors-norme. situation; sexuellement et sentimentalement dévoué à son frère aîné, abishaï. profession; assistant légiste. croyances; c'est pas tant qu'il croit au diable ou au satanisme, c'est plutôt que la sorcellerie lui permet de rester avec abishaï, et au fond, c'est son aîné le seul dieu qu'il vénère. camp; fils de pute psychopathe .. oké le mal. caractère Absalom, il a un cœur. Quelque part, battent contre sa poitrine des amas de nerfs et de sang, qui nourrissent ses instincts les plus primaires. Dans les films d'horreur, il y a toujours un gamin comme lui, un mioche au regard froid, à l'attitude trop mature, un enfant détraqué qui prend plaisir à la torture et au sadisme. Il n'y a pas toujours d'explication évidente à la naissance d'un sociopathe. Pour Absalom, il y a Abishaï. D'un an son aîné, son frère a toujours été son seul modèle. Devenir aussi mauvais, c'était probablement un moyen de se mettre au même niveau qu'Abi. Le rendre fier. Quand leurs parents sont morts, il n'y avait plus qu'eux deux, et Ab a développé avec son aîné une relation particulière. Certains diront malsaine. En réalité, c'est la seule chose qui fait sens dans sa vie, parce qu'Absalom ne ressent pas les choses comme le commun des mortels. Il se fout de découper les animaux et de leur arracher la peau, de se saigner sous la lame de son frère ; il n'a pas de remords quand ils en viennent à tuer, à s'aimer sur le corps de leurs victimes agonisantes. Il n'y a qu'Abishaï, et le reste ne vaut rien. | random facts Absalom aime Abishaï ∆ il aime son corps ∆ ses fantasmes et ses délires meurtriers ∆ il se voit comme un être supérieur aux autres ∆ il éprouve une certaine fascination pour l'anatomie des êtres humains, leur intérieur ∆ plus jeune, il tuait les animaux ∆ les ouvrait, les autopsiait ∆ encore vivants, c'était plus instructif ∆ il a un sens de la morale en décalage avec les mœurs de la société ∆ il n'a aucune connaissance de son don ∆ il a déjà pensé à tuer quelqu'un, mais n'est jamais passé à l'acte ∆ c'est Abishaï qui s'en est toujours occupé ∆ il aime la ressemblance entre leurs prénoms ∆ à choisir, il serait plutôt un vampire qu'un loup-garou ∆ le sang l'a toujours fasciné ∆ ses entailles sont autant de cicatrices qui lui rappellent son passé, qui lui rappellent Abishaï ∆ il ressent du plaisir dans la douleur, et personne d'autre qu'Abi ne le fait autant souffrir, ne lui donne autant de plaisir. |
when the days are cold and the cards all fold La tête par la fenêtre, le vent violent qui vient fouetter son visage, Absalom hurle. Il époumone sa joie, crie le bonheur aux rafales glaciales. Libres, ils sont foutrement libres. Depuis combien de temps avait-il attendu ce moment ? Toute sa vie, lui semblait-il. Maintenant, il n'y avait plus d'obstacle, et dieu sait qu'il y en avait eu. Au début, c'était bien, c'était facile. Papa, maman, grand frère. Le schéma classique, et quoiqu'il en dise maintenant, Absalom était heureux à l'époque. Il n'y avait aucune raison de ne pas l'être ; ses parents s'occupaient de lui, sa relation avec son frère était complice. Au beau fixe. Finalement, Ab est né le jour où ses parents sont morts, le jour où lui et son frère ont été fourgués dans un orphelinat de bas-étage, aux locaux anciens et à la discipline stricte. Les Levonski n'étaient pas des enfants à mater, ils n'avaient que faire des punitions et des menaces. Ils étaient la menace. Quelque chose s'est brisée en Ab, quelque chose qui n'a jamais pu être réparé, ni par les professeurs, ni par les parents adoptifs que lui et son frère ont eu. Ils ont perdu toute trace d'humanité, de moralité. C'étaient eux contre le monde entier, et à défaut, ça leur convenait terriblement. À bord de cette voiture, ils roulaient vers leur nouvelle vie. Absalom ferma la fenêtre. La musique de l'autoradio inondait l'habitacle, du bon vieux rock comme on en faisait plus. Abishaï, au volant, souriait tout en travers. Ils étaient toujours comme ça, les sourires d'Abi – ils faisaient peur aux gens, peut-être parce qu'on y voyait son absence de compassion. Peut-être parce qu'il n'avait pas de cœur. C'était faux, bien sûr. Son cœur battait pour Absalom, seulement pour lui, et ça avait toujours été ainsi, leurs deux rythmes à l'unisson. Le cadet posa sa main sur la cuisse de l'aîné. Ils étaient plus que frères : ils étaient amants. Les premiers émois, les premiers baisers, les premières fois, n'avaient jamais été qu'entre eux. Bien sûr, parfois s'étaient-ils égarés sur d'autres corps, mais toujours ensemble. Ab se souvînt du cousin, celui qui était resté dans la grotte, dont les lambeaux pourrissaient probablement encore à ce jour. Abi l'avait saigné à blanc, saigné comme il le faisait sur Absalom. Seulement, les cicatrices sur Ab étaient autant de bons souvenirs, des instants volés dans leur chambre un peu trop sombre, quand il faisait déjà nuit et que le silence était maître. Il ne se retenait jamais de gémir, que pouvait faire leurs tuteurs ? Les séparer ? Qu'ils essaient, pour voir. Le sang se mêlait aux caresses, les lèvres à la peau, et dans ces moments-là, tout faisait sens. Ils récitaient les formules maintenant apprises par cœur, psalmodiaient en grec ancien, en cyrillique, les sortilèges récupérées dans ces vieux grimoires qu'Abi ramenait, d'on-ne-sait-où. Ces rituels joignaient la soif de sang à l'appel de la luxure, et l'immoralité de leur liaison amplifiait les ondes qu'ils se voulaient transmettre au monde. Quand est-ce que ce jeu avait commencé, précisément ? À l'internat ? Non, là-bas il n'était pas encore question de satanisme, juste de sadisme. Ab avait toujours eu cette fascination morbide pour les êtres vivants, notamment pour leurs intérieurs. Combien de fois s'était-il amusé à les disséquer vivants, grenouilles et autres oiseaux qui tombaient sous sa coupe ? Plonger ses mains d'enfants dans les entrailles trop pleines d'organes, en ressortir des morceaux pas plus grand qu'une tête d'épingle, qu'il étudiait soigneusement, c'était devenu son pain quotidien. Les dépouilles de ses patients étaient offerts à de plus grosses bêtes, en guise d'appâts, qu'il capturait par la suite. Le cercle vicieux de ses petites expériences relevait déjà d'une grande curiosité. Une grande cruauté, aussi – mais il mettait ça sur le compte de son intelligence hors-norme. Lui et son frère étaient dotés d'un intellect supérieur à la normale. Ils ignoraient tout de leur don, et encore aujourd'hui, n'ont aucune idée du cadeau qui leur a été fait à leur naissance. Ils n'en ont que les migraines, et le savoir démesuré. C'est peut-être ça qui les a détraqué. ∞ ————— ∞ Découper des cors est devenu plus qu'un hobby pour Ab. Il en a fait son métier – assistant légiste. Toute cette connotation scientifique, cet intérêt sérieux pour la résolution de crimes. Lui, il s'en branle, tout ce qui l'intéresse, c'est de tripoter les chairs et les organes. Bien sûr, il ne l'a pas mis sur son cv. Il a même un peu menti. Seulement, la médecin légiste en chef semble n'en avoir rien à branler non plus. Elle s'appelle Rachel, elle est froide et réservée, elle ne pose pas beaucoup de questions, et ne donne définitivement aucune réponse. Pour Absalom, la morgue est devenu un vrai paradis. Juste derrière leur appartement, à Abi et lui. Ils y sont seuls, ils peuvent y faire ce qu'ils veulent, et ils ne se privent pas. Sexe et éclats de lame se succèdent et excitent les journées les plus sombres. Ils ont adopté une routine qui, à défaut d'être un nirvana de surprises, leur permet d'assouvir tous leurs penchants sans se soucier des autres. À vrai dire, il ne s'en était jamais soucié auparavant. Il y a juste ce sentiment nouveau de liberté qui plane sur eux et leur vie de couple. Pourquoi être revenu ici, à Wellington, lieu de leur naissance ? Abi dit que c'est un retour aux sources qui leur donnera ce dont ils ont besoin. Absalom écoute, Absalom hoche la tête, mais il ne sait pas vraiment ce dont ils ont besoin. Un nouveau départ ? Ou une replongée au fond de leurs origines ? Les rituels sont agréables, les parties de baise aussi, mais où est-ce qu'ils vont comme ça ? Ab se le demande de plus en plus, à mesure qu'il rencontre de nouvelles personnes, qu'il commence à s'intégrer. Son amour pour Abishaï ne connaît aucune limite, jamais il ne pourrait le remettre en question. En revanche, les motivations de son frère reste un mystère qui l'effraient un peu. Il y a des ondes étranges, dans cette ville. Une concentration d'esprits, une aura surnaturelle. Absalom a toujours aimé le surnaturel. Absalom a toujours aimé Abishaï. Alors, gamin, qu'est-ce qui te dérange tant, dans ta nouvelle vie ? behind the screen pseudo; keibo bitches âge et sexe; mâle viril tout juste majeur. ce que vous pensez du forum; comment l'avez-vous découvert; code du forum; devine. célébrité et copyright; diego barrueco, tumblr et eylekia pour l'avatar. un petit mot pour la fin; comets drift away is life
Dernière édition par Absalom Levonski le Ven 29 Mar - 0:27, édité 6 fois |
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MESSAGES : 284 DATE D'INSCRIPTION : 15/08/2012 LOCALISATION : institut newton pour mutants et êtres surnaturels. EMPLOI : directeur de l'institut. CAMP : celui de l'harmonie.
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MESSAGES : 284 DATE D'INSCRIPTION : 15/08/2012 LOCALISATION : institut newton pour mutants et êtres surnaturels. EMPLOI : directeur de l'institut. CAMP : celui de l'harmonie.
| Sujet: Re: absalom ◊ it's where my demons hide Ven 29 Mar - 15:22 | |
| bon dieu nicolas. alors déjà, bonne végétarienne pacifiste complètement gaga que je suis, tu te doutes forcément que j'ai adoré la première partie de ta fiche. ou même les personnes que son absalom et abishaï. j'aime beaucoup leur relation, le personnage, l'avatar, le joueur derrière, l'histoire, le caractère, bref, jotem, je te fais violemment des bébés par derrière et te valide. |
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MESSAGES : 635 DATE D'INSCRIPTION : 06/08/2012 EMPLOI : fondateur de drop out. CAMP : le mauvais.
| Sujet: Re: absalom ◊ it's where my demons hide Sam 30 Mar - 10:39 | |
| toi, tu sais comment parler aux hommes je fonds pour tes compliments, merci zelda, et sérieux tu voulais faire un assistant légiste ? la connexion dream team est toujours présente, entre soulmates |
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